Mao tsé
Toung.
Né en chine centrale à Shao-Shan en
1873 de parents s’étant enrichis sur le commerce de riz.
Père avare et mère pieuse lui enseignant la charité
et qui pensait que son cher fils serait un jour moine bouddhiste. Elève
brillant, avec une curiosité dévorante, toujours en tête
de sa classe. Son père lassé par la longueur de ses études
lui coupe les vivres, entre à 25 ans comme aide bibliothécaire
s’enflamme sur les discours de LENINE et les écrits de MARX.
Il est obsédé, à ce moment là par le communisme
qui "supprime" les inégalités sociales. Avec quelques
professeurs et des étudiants se lance dans la fondation du parti
communiste. On est le 30 janvier 1921. Clandestins, non pris au sérieux,
ils ne réussiront qu’en 1949. Il ne reste que trois des douze
fondateurs. Mao tient en ses mains toutes les rennes du parti. Calculateur,
prudent, il se débarrassera froidement de tous ses adversaires
et tout ce qui le gêne dans sa route. Il se sert des paysans qu’il
endoctrine pour arriver à ses fins . Il est aidé par l’accablement
et la famine qui les frappent. Comme d’habitude, il parle de la
redistribution des terres à ceux qui les cultivent. Il retourne
dans sa région et forme le premier noyau d’une armée
rouge de soldats paysans. Inlassablement il endoctrine les paysans, il
supprime physiquement tous les cadres qui ne suivent pas exactement sa
ligne. Le 1er janvier 1929 " l’armée rouge " se
met en branle, expropriant les propriétaires et redistribuant les
terres, il organise des meetings montres se forgeant une réputation
de légende. Ses troupes se jouent des troupes de Tchang Kaï-Chek.
Quel est le secret de Mao ? il laisse entrevoir un avenir meilleur pour
les paysans, ceux-ci détruisent les arrières des troupes
ennemies. Pourtant en 1934 et 1935 il doit battre en retraite et reculer
de 12. 000 kilomètres, tombe malade. Mais il va ruser, il s’allie
"temporairement" à son ennemi TCHANG pour soi-disant
stopper l’invasion japonaise. En fait il va dévorer son "
allié " en employant la même tactique: saper ses arrières.
Son armée compte désormais 1 million de d’hommes.
Tchang Kaï-Chek doit se réfugier à Formose. Le 30 septembre
1949 Mao Tsé-Toung fait son entrée à Pékin.
C’est la deuxième étape de sa vie commence les persécutions,
entre autres celle des chrétiens. On fait un lavage de cerveau
à tous les opposants ou on les supprime carrément. On estime
cette répression à 15 millions de morts. Tout lui a été
bon, il n’a reculé devant rien. Plus d’un million de
Tibétains ce peuple profondément pacifique et religieux
mourra aussi à cause de l’invasion communiste de la chine.
Discours prononcé par Mao Zed Ong lors du Congrès du Parti
communiste chinois (PCC) en 1956 : "Bien que nous ayons accompli
des choses extraordinaires, nous ne devons pas être arrogants. L’humilité
fait avancer, tandis que l’arrogance fait reculer. Jamais je n’oublierai
cette vérité". No comment
Développement du communisme
Aidé par les intellectuels pratiquement
du monde entier, le communisme s'étend comme une traînée
de poudre. Mao TSE TOUNG se rend maître de la chine. La République
Fédérale Allemande est créée au mois d'octobre.
Les Russes font exploser leurs premières bombes atomiques le 14
juillet et 29 août. De quoi s'inqiéter, mais rien n'y fait.
Le seul revers, il l'essuie en Grèce: abandonnés par Tito
et encore plus par Staline qui ne s'intéressent pas à eux,
les communistes grecs abandonnent les combats dans une guerre civile qui
dure depuis trois ans.
En France, il y a les communistes et les
anticommunistes. Ils s’affrontent, ils s'insultent durement et Maurice
THOREZ fait une déclaration qui va faire du bruit –"Même
en cas d’invasion de la France les travailleurs ne prendront pas
les armes contre l'Union Soviétique -" Plusieurs
journalistes vont être arrêtés dés le lendemain.
La frontière entre la défense d'une cause noble et juste
et la recherche d'une gloriole personnelle est tellement ténue
que ceux qui la franchissent ne s'en rendent peut-être pas compte.
Mais de ceux qui, en avril mobilisent leurs troupes et organisent le "
Congrès Mondial des Partisans de la Paix", certains ne pouvaient
vraiment pas être sincères. Il était impossible qu'ils
ignorent ce qui se passait en URSS. Et, est-ce que c'est vraiment cela
la défense des opprimés, la recherche de la justice et de
la liberté? Pourtant des gens comme Joliot CURIE et PICASSO participent
au congrès et ce dernier a peint une colombe qui est distribuée
à des millions d’exemplaires. La colombe de la Paix!!!
Ils ne pouvaient pas l'ignorer, surtout depuis que Victor Kravchenko,
ancien apparatchik soviétique, était passé à
l’Ouest en 1944 et avait dénoncé une face des horreurs
du régime stalinien dans son livre " j’ai choisi la
liberté ". Louis Aragon qui dirige les " lettres françaises
" un hebdomadaire proche du parti communiste vilipende durement l’auteur
et l'attaque même en justice. Il l’accuse d’avoir menti
et assure que son texte avait été l’œuvre des
services secrets américains. Kravchenko gagne pourtant son procès,
mais que change un procès? Rien! Et cela l'expérience me
l'apprendra.
Victoire de Mao
Mao TSE TOUNG marchait vers le pouvoir depuis 1921,
mais cette fois-ci, deux ans lui avaient suffit pour vaincre son adversaire
Thang Kaï-chek.
Comment y était-il arrivé ? Encore une fois par la parole!
par le conditionnement! En conditionnant les paysans et les ouvriers,
mais aussi (et quand même), en évitant tout pillage. Le 1er
octobre il proclame la République Populaire de Chine.
Naissance
de l'Otan
Il y a d'autres naissances cette année. En mars était née
l' O T A N (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) un conseil
militaire chargé d'appliquer une assistance mutuelle à tous
ses membres et sur tous leurs territoires. Puis naît la République
Fédérale d’Allemagne, avec KONRAD ADENAUER comme chancelier
et Bonn comme capitale. Israël dirigé par BEN GOURION et un
gouvernement de coalition fait de Jérusalem la capitale de l’Etat
hébreu.
Repression et massacres
dans les pays de l'Est
Dans les pays de l'Est, il ne fait pas bon de ne pas être communiste
et on continue la guerre contre la religion. Tous les moyens seront bons.
En Hongrie le cardinal MINDSZENTY est arrêté. On le condamne
pour avoir "comploté" contre le régime, puis d'avoir
organisé le marché noir. On connaît les méthodes
des soviétiques qui avaient aussi, été utilisées
en Espagne: le cardinal et les autres cinq inculpés avouent tout
ce que l’on leur reproche et en rajoutent. On avait interdit la
présence d'observateurs venus de l'autre côté du rideau
de fer et ils sont condamnés à la prison a vie. Toutes ces
persécutions engendrent des réactions. Du sectarisme naît
le sectarisme: en juillet le Pape Pie XII excommunie tous les communistes
du monde entier. Cette déclaration choque l'Italie où ces
derniers sont presque aussi nombreux que les démocrates chrétiens.
Conflits entre sraéliens et Arabes
Le conflit entre les Israéliens et les Arabes continue et continuera
pendant de nombreuses années. La force paraît être
la meilleure des raisons. Les premiers ont gagné la guerre contre
les seconds, alors ils conservent les territoires conquis, exception faite
de la bande de Gaza conservée par les Egyptiens . Mais sur ces
territoires il y avait 500 000 Palestiniens qui ont dû fuir leur
Pays et qui vont commencer à vivre dans des camps de réfugiés.
En France le ravitaillement revient à son rythme presque normal.
Les ponts sont tous reconstruits, ainsi que les voies de chemins de fer.
Les difficultés naissent de la volonté du Gouvernement de
vouloir tout encadrer par l'Administration. Il ne faut pas demander de
quelle tendance était le gouvernement!!
Grave incendie dans
les Landes
Il y a un incendie dans les Landes. Il fait 84 morts, brûle 123
000 hectares de pins. On parle de la réhabilitation de Baudelaire.
La cour de cassation aurait annulé un jugement de 1946 qui le condamnait
pour immoralité et obscénités dans ses poèmes
les fleurs du mal. Le temps passe, les politiciens changent….
Cette année là
Commercialisation massive du DDT, un insecticide
puissant qui vient à bout de tout ce qui est nuisible. Mais et
le reste ? A l'époque, nous nous ne posions pas la question. On
était bien content de se débarrasser des doryphores, moustiques,
mouches et autres bestioles qui nous empoisonner l'existence !
Invention des gâteaux en "kit". Tous les ingrédients
sont fournis. Il n'y a plus qu'à les mélanger et les mettre
au four.
Invention aussi du code-barres.
Invention du Polyester
Une biochimiste anglaise approfondi l'étude de la pénicilline
grâce à l'informatique et les rayons X. Les antibiotiques
sont des substances qui empêchent les bactéries de proliférer
et les rend inactives
Personnel et sans importance
1949 c'est aussi l'année
d'un grand bouleversement dans ma vie. Ma sœur Aurore que je voyais
pleurer silencieusement à chaque fois que mes parents parlaient
de notre retour en Espagne, finit par se marier en Février. C'était
donc cela, les pleurs!
Notre départ était prévu pour le mois de mars et
avant de partir, mes parents achetèrent plusieurs vélos
très rares en Espagne.
J'avais déjà faits mes adieux aux copains à l'école.
Des adieux un peu organisés par mon instituteur et tous avaient
promis de m'écrire et j'étais déjà un peu
triste, mais le jour de notre départ, ce fut mon premier grand
déchirement: ma sœur restait, seule de notre famille, dans
cette région que je considérais comme nôtre. C'était
là que j'avais découvert la vie, et nous partions vers un
lointain pays. Je me souviens comme si c'était hier, de la peine
et des larmes de toute la famille. Des nôtres, qui partions la laissant
là sur les quais d'une gare, des siennes nous voyant partir sans
pouvoir prévoir la date où nous nous reverrions.
Mes parents partaient confiants de l'accueil qui nous serait fait par
les autorités espagnoles. Un oncle, qui était entré
dans la police, les avait rassurés plusieurs fois: -" Nada
teneis que temer"- avait-il écrit et je m'en souviens parce
que j'étais tombé sur ce mot dont j'ignorais le sens. En
fait il voulait dire que nous n'avions rien à craindre.
Nous n'étions pas partis directement en Espagne. Nous avions fait
un arrêt à St André de Cubzac où mes parents
avaient rencontré plusieurs amis qui avaient subi la guerre comme
eux sur les fronts d'Aragon. Il y avait deux cousins germains de mon père,
des Aznar (Un autre frère, maire d'Alfajarin pendant la République
avait choisi de retourner en Espagne dès 1939, sans doute pour
subvenir aux besoins de sa femme et deux enfants) Il y avait deux frères
Beltran de Nuez de Ebro , mais ma mère ne put voir celle qui était
devenue sa meilleure amie et dont elle parlait très souvent: "la
Porrona" qui était de Villafranca de Ebro, et qu'elle ne revit
d'ailleurs jamais. Il y en avait encore d'autres mais je ne me souviens
pas de leurs noms. Nous étions restés quelques jours en
leurs compagnies. Que de souvenirs avaient-ils dû échanger!
Cela faisait dix ans qu'ils ne s'étaient pas vus et la misère
et la souffrance créent des liens très forts!
Et nous voilà à
Irun! Même moi du haut de mes onze ans à peine, je m'étais
senti angoissé, comme si une sorte de couverture invisible, asphyxiante
s'était abattue sur nous. Les immeubles, bombardés pendant
la guerre, étaient restés en l'état. Les ruines arrivaient
de chaque côté pour se rejoindre au milieu des rues et les
gens, en circulant, avaient tracés des sentiers. Nous avions dû
passer une nuit à l'hôtel et nous avions été
très gentiment accueillis, mais les douaniers et la police nous
regardaient d'un air sévère, sans que je puisse aller plus
loin dans l'analyse de cette attitude.
Le pain noir et rare qu'on nous avait servi au petit déjeuner,
avait encore augmenté mon angoisse. J'avais demandé à
ma mère de revenir en France et j'avais encore insisté d'avantage
en sentant chez elle une nette hésitation. Maintenant j'imagine
facilement ce que ils devaient ressentir en revenant dans leur pays, mais
après cette guerre et tous ses morts et la peur qu'inspiraient
les "vainqueurs". Néanmoins nous avions continué.
Quatorze heures de train pour faire les 300 kilomètres qui nous
séparaient de Zaragoza! Mais là quel accueil! Des tantes,
mon grand-père, des cousins! Ils en sortaient de partout. Il y
avait des cris, des larmes, des embrassades. Tous les quais de la gare
étaient envahis par notre famille!
Crevés, nous avions dormi à Zaragoza et ce n'est que le
lendemain que nous étions arrivés à Alfajarin. Là
encore, nous attendaient d'autres membres de la famille. C'était
le 19 mars, une toute nouvelle vie m'y attendait.
Alfajarin était, en ces
années, un village ramassé sur lui-même, comme si
les habitants avaient construit leurs maisons pour se protéger
du "cierzo" ce vent d'Ouest, glacial les mois de janvier, février
et mars, abrutissant les autres mois. Il est difficile en 2 000 de imaginer
Alfajarin tel qu'il était à cette époque. Il y avait
deux rues principales (dont une était la route Nationale de Madrid
à Barcelone) et deux rues secondaires qui n'étaient que
les sorties des "corrales" composées de portes cochères.
Les maisons étaient accolées les unes aux autres et seules
des ruelles transversales de temps en temps laissaient quelques brèches.
Les matériaux utilisés étaient d'origine et de fabrication
locales et provenaient du gypse extrait des collines auxquelles il s'adossait.
La pierre brute servait pour la construction des murs, la pierre cuite
et broyée constituait un plâtre grossier, très difficile
à utiliser, mais très résistant. Les murs du "château"
construit par les arabes des siècles en arrière et toujours
debout malgré les intempéries, en était la preuve.
Mais, l'aspect des murs non enduits était franchement laid et ils
étaient bien plus nombreux. Les façades enduites étaient
blanchies (plutôt bleuies puisque c'était un bleu pâle)
à la chaux pratiquement tous les ans. La route nationale était
pavée, mais le passage continuel de voitures à chevaux,
les travaux agricoles faisaient qu'elle toujours boueuse pendant l'hiver.
Les autres rues n'étaient, bien sûr, ni goudronnées
ni pavées, ni même nivelées et avaient une pente naturelle
vers le milieu. L'autre rue principale était entretenue par les
femmes qui balayaient journellement chacune devant sa maison. Les deux
autres rues ne servaient que pour le passage des voitures et des animaux.
Les toits étaient composés de tuiles bateau faites de façon
artisanale avec de la boue malaxée en pâte et plus ou moins
cuite dans un four improvisé.
Je décris ce village parce-que cela me paraît indispensable
pour la bonne compréhension de l'époque. Du taudis que nous
habitions à Meusnes aux maisons d'Alfajarin je n'avais pas trouvé
de grand changement. Seules "las rejas" (des barreaux) aux fenêtres
me semblaient sinistres. En principe, elles servaient de protection contre
le vol, mais pour voler quoi? Et pourtant il y a toujours plus pauvre
que soi!
Décrire une maison me paraît aussi nécessaire. Vous
construisez quatre murs et vous lui mettez un toit, c'était là
l'essentiel. Ensuite, vous aviez une porte d'entrée et une porte
vers le "corral"; une fenêtre plutôt petite (pour
se protéger du vent et du soleil) par pièce, mais pas forcément
puisqu' à l'intérieur, il y avait des pièces sombres.
Les plafonds étaient constitués de troncs de sapins grossièrement
taillés et de taille adaptée, environ 15 cm de diamètre,
sur lesquels on mettait un treillis de roseaux fendus et tressés,
enduits au plâtre entre les troncs en dessous. Les sols étaient
de "terre battue" c'est à dire qu'à force de piétiner
dessus, ils devenaient très durs, puis avec l'entretien (lequel?)
ils arrivaient à briller. Chez les personnes un peu plus aisées,
ces sols étaient de plâtre, coulé par terre et lissé.
Eux aussi devenaient un peu brillants avec l'âge. On enduisait les
murs au plâtre et on les passaient à la chaux vive, un peu
bleuie.
Chez les "riches" les sols commençaient à être
une chape de ciment au rez-de-chaussée. Il n'y avait bien sûr
pas d'eau, donc pas de salle de bains et les W.C. se réduisaient
à un cabanon au dessus d'un trou dans la cour sur lequel on avait
fixé une planche percée d'un trou rond. L'installation électrique
se limitait à un fil torsadé qui partait du compteur et
allait de pièce en pièce, sous les plafonds ou sur les murs
avec, au bout, une douille et une ampoule. Et voilà la maison construite.
Quand on regarde le mobilier dans une maison actuelle on a de la peine
à imaginer que l'on puisse vivre sans tout cela. Tout ces gadgets,
tous ces appareils, toute cette technologie nous sont devenus indispensables.
Et pourtant nous n'avions rien de tout cela !
Pour comparer, on pourrait commencer par éliminer tout ce que l'on
n'avait pas. Ce serait vraiment trop long ! Il est plus simple de dire
ce qu'il y avait.
Dans la salle à manger, une table toute simple et autant de chaises
(bon marché) qu'il y avait de membres de la famille plus une. A
l'ampoule centrale, on lui mettait quelques fioritures pour la rendre
un peu plus agréable. Quelques pages de calendrier (offert par
ceux qui vendaient les engrais) faisaient l'usage de tableaux et des pointes
plantées derrière la porte, servaient de porte-manteaux.
Dans le couloir, appelé "patio" une petite table et deux
petites chaises qui servaient souvent pour faire de la couture. Au murs,
d'autres pages de calendrier.
Les chambres étaient les pièces les plus meublées.
A part le lit (les matelas étaient de fabrication maison, avec
de la laine des moutons personnels ou d'un voisin) il y avait une armoire
et une, parfois deux tables de nuit. S'il y avait un tableau venant du
commerce dans la maison, il se trouvait là, au dessus de la tête
de lit et il représentait une image pieuse, souvent représentant
la Cène. Mais la recherche du moindre prix vous laisse supposer
la qualité. Et voilà pour l'ameublement.
Au bout de quelques jours d'adaptation
je commençai une autre scolarité, une autre forme de catéchisme,
des nouveaux copains, de nouvelles découvertes. Mais, je n'avais
pas encore pris conscience qu’à ma naissance, j'étais
tombé dans un piège: dans la trappe du cloisonnement des
classes sociales et l'étau allait se resserrait de plus en plus.